Plus de bureaucrates, moins d’emplois dans le secteur privé
La Fédération canadienne de contribuables a publié les résultats d’une enquête selon laquelle 43 000 employés du secteur public québécois ont un salaire annuel de 100 000 $ ou plus.
Il y a pire : selon une étude du Fonds monétaire international (FMI), maintenir 100 emplois dans le secteur public détruit 150 emplois dans le secteur privé, pour une perte nette de 50 emplois !
Cette destruction d’emplois s’explique en grande partie par le fait que les salaires des employés du public proviennent d’impôts plus élevés, qui eux-mêmes détruisent leur part d’activité économique.
Puisqu’il y a 550 000 employés dans le secteur public de la province, cela veut dire que 275 000 Québécois se retrouvent sans emploi à cause du chèque de paye de ces bureaucrates. Pourquoi? À cause des ressources que le gouvernement extrait du secteur privé pour se nourrir.
Quant à ces 43 000 bureaucrates très bien payés, l’étude du FMI suggère qu’ils ont mis au moins 20 000 Québécois à la porte. Mais bon, au moins les chômeurs peuvent être sûrs que ces bureaucrates sont bien nourris.