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Réglementation

Les données doivent suivre le patient

Le Québec a désespérément besoin de mettre en place un écosystème de santé numérique moderne et robuste. Cela favorisera la santé des patients d’aujourd’hui et encouragera l’innovation pour offrir de meilleurs soins demain.

Améliorer l’accès aux données sur la santé au Québec

Difficile à croire, mais en 2022, la transmission des renseignements sur la santé entre établissements et services se fait toujours par télécopieur au Québec. Selon cette publication, le système provincial actuel ne permet pas une circulation efficace de l’information qui profiterait aux patients, et il manque dans les dossiers de santé électroniques des renseignements essentiels dont les médecins ont besoin pour établir un plan de traitement approprié.

La SAQ en voie de noyer les microdistilleries

La vente de spiritueux sur les sites de microdistilleries permettrait aux petits entrepreneurs d’offrir leur produit sans faire les frais d’une hausse de prix injustifiée par le gouvernement.

Quebec’s ailing health-care system

To ensure Quebec’s health-care system functions properly and is accessible to all, the province’s government needs to consider how best to increase the number of physicians in the province, and fast.

Une prescription pour contrer la pénurie de médecins au Québec

La pandémie a brutalement mis en lumière les défaillances du système de santé québécois; les reports d’interventions chirurgicales font d’ailleurs de nouveau les manchettes. La pénurie de médecins et l’absence de concurrence entre le privé et le public nuit à l’accessibilité des soins. Cette publication propose plusieurs façons d’améliorer l’accès aux soins de santé, notamment en faisant plus de place aux fournisseurs indépendants et en augmentant le nombre de médecins au Québec. Pour ce faire, il faudra cependant que le Collège des médecins et le gouvernement mette un terme à leur liaison intime nuisible pour les Québécois et Québécoises.

La loi 96 fait fausse route

Dans les derniers jours, de nombreux boucliers se sont levés face au controversé projet de loi 96, notamment dû à l’incertitude pour les anglophones et allophones de continuer à recevoir des services publics en anglais.

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