Largely absent from the mainstream dialogue on the shifting energy landscape is any pragmatic talk about the productive use of carbon emissions.

Montréal, le 15 septembre 2021 – Alors que le gouvernement du Québec signale son intention d’empêcher définitivement toute exploitation du gaz naturel et du pétrole québécois, l’économiste et directeur des opérations de l’Institut économique de Montréal (IEDM), Miguel Ouellette, a souhaité réagir.

If we want to have a chance of hitting this ambitious target, we need to shift the narrative from blaming the oil and gas industry to embracing it as an integral part of the solution.

Depuis plusieurs années, les gouvernements multiplient les mesures destinées à réduire les émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre les changements climatiques. Cette Note économique analyse dans quelle mesure ces politiques publiques ont un impact disproportionné sur les régions rurales du pays comparativement aux centres urbains, alors que les revenus en région sont en moyenne 16 % inférieurs à ceux des grands centres.

Il est temps de revoir notre façon d’évaluer les grands projets, tant au Québec que dans le reste du Canada, afin de donner la parole aux gens véritablement concernés.

It’s time to rethink how we evaluate large projects, both in Quebec and in the rest of Canada, in order to give a voice to the people who are truly affected by them.

Canada’s capacity to compete as a global leader in clean nuclear energy has stalled.

Updating the royalty system to one based on market pricing for bitumen also invites capital investment and the accompanying development of other oil sands products such as carbon fibre.

Sitting on these abandoned and orphaned wells instead of repurposing them is a forgone opportunity, and a shameful waste.

Nous devons trouver un juste équilibre entre croissance économique et ralentissement du réchauffement climatique.